- Destruction de la force vitale ou plus encore.
- Que l’on voit courir librement : on est ardemment aimé.
- Que l’on capture ou assomme : querelle en amour ou chagrin d’amour
- chez les personnes d’un certain âge, problèmes dans leurs amitiés.
- Que l’on voit captif : ami ou amie fidèle.
- Le rat vu isolément indique un être que vous sustentez
- ce peut être votre enfant
- ce peut être aussi un individu qui vous exploite.
- En principe voir un rat chez soi indique au dormeur qu’il s’agit de son enfant ou d’un enfant auquel il s’intéresse
- le voir au dehors ou qui s’esquive doit faire supposer un voleur.
- Interpréter d’après ce qui survient au rat, d’après sa taille, sa couleur, son allure etc.
- Des rats en grand nombre affirment que le songeur a des ennemis occultes.
Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :
Le fonctionnement des rêves
A quoi servent les rêves ??
Tant que nous étions sous l’empire des dieux écrit Françoise Parot, nous n’avions aucune raison de nous interroger sur l’utilité de ces activités oniriques. » Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que soient prêtés au rêve des rôles intégrés au fonctionnement cérébral. A partir des années 60, on recherche surtout les fonctions possibles du sommeil paradoxal pendant lequel surviennent les rêves. Malgré les espoirs suscités par les sciences neurologiques, aucune théorie n’a trouvé aujourd’hui de support expérimental solide. En particulier, les expériences de privation de sommeil paradoxal, qui perturbent le déroulement normal du sommeil, ne semblent pas entrainer de troubles caractéristiques. Est-il vraiment pertinent de poser la question d’une fonction biologique des rêves au même titre que la nutrition ou la respiration ? Ce vide théorique laisse le champ libre à certaines conceptions traditionnelles, dont nos idées demeurent plus ou moins héritières.
Le rêve comme purge du cerveau
D�après l’allemand W, Robert, en 1886, le rêve est l’effet d’un processus somatique d’élimination de pensées étouffées dans l’oeuf » : on ne peut évacuer les impressions informes et les pensées non élaborées, sources de tension psychique, qu’en les complétant par des emprunts à l’imagination. S’il ne s’agit pas ici d’un processus psychique, la notion de mise en scène, véritable fabrication de l’imagerie onirique, est commune à la théorie de Freud. On retrouve cette idée un siècle plus tard, en 1983, dans la théorie de Francis Crick et Graeme Mitchison, pour laquelle le rêve est un processus d’oubli : isolé pendant le sommeil paradoxal, le réseau neuronal serait purgé des informations parasites grâce à l’activation aléatoire des ondes PGO. Mais il reste alors à expliquer comment s’effectue le tri entre ce qui est signifiant et ce qui ne l’est pas.
Le rêve comme soupape de l’esprit
Avec la publication de Die Traumdeutung en 1899, Sigmund Freud marque pour longtemps les esprits. Selon lui, l’homme forme des désirs et des pulsions qui, inacceptables pour la conscience, sont refoulés par celle-ci. Il leur correspond une énergie emmagasinée que le cerveau doit évacuer pour se soulager d’une tension psychique. Le rêve autorise cette libération en déguisant ces désirs au moyen d’une mise en scène de matériaux mnésiques et symboliques. Les arguments physiologiques avancés par Freud ont été largement réfutés. L’hypothèse que les rêves se nourrissent des conflits de la petite enfance est remise en cause par la probable existence de sommeil paradoxal chez les nouveau-nés et certains animaux. Traditionnellement opposée à celle de Freud, la théorie de Carl Jung, au début du XXe siècle, envisage le rêve comme un moyen d’accès direct à l’inconscient individuel au sein d’un inconscient collectif, et révèle davantage les conflits actuels que ceux de l’enfance. Ces deux théories se rejoignent pourtant, en ce sens que le rêve découvre et régule les désirs et les affres de l’individu dans son intégration à l’environnement.
Le rêve comme entretien des circuits neuronaux
Selon la théorie du « rêve sentinelle » de Snyder (1966), la stimulation corticale pendant le sommeil paradoxal permettrait à l’animal endormi de rester prêt à réagir rapidement en cas de péril. Mais le seuil d’éveil plus élevé au cours de cette phase et le fait que l’on observe plus de sommeil paradoxal chez les animaux les moins sujets à la prédation ne plaident pas en faveur de cette hypothèse. J. Allan Hobson a proposé que le sommeil paradoxal autorise à la fois le repos du système nerveux de la motricité et de l’attention et l’excitation du système nerveux non fatigable, en particulier des circuits essentiels ou des circuits servant peu fréquemment. De cette activation découlerait la synthèse par le cortex des scénarios oniriques. Comme le suggéra Edouard Claparède en 1905, le rêve pourrait être un exercice de création permettant la réactivation de processus mentaux et le test de comportements innés ou acquis, ce que peut illustrer l’expérience de Michel Jouvet et de Jean-Pierre Sastre sur le » comportement onirique » du chat : celui-ci, après une lésion du Locus coeruleus a (qui inhibe le système moteur pendant le sommeil paradoxal), semble mimer des comportements instinctifs typiques. Cependant, la privation de cette phase de sommeil ne met pas en évidence une altération des comportements instinctifs.
Le rêve comme gardien du sommeil
L’te;e que le rêve préserve le dormeur d’un réveil intempestif apparaît dans la théorie de Freud, pour qui la satisfaction hallucinatoire rend tolérable les vérités refoulées du sujet conscient, et prétend ainsi expliquer le cauchemar comme un échec du rêve. Elle est aussi présente dans l’hypothèse de Frederick Snyder pour laquelle les productions gratifiantes des rêves assureraient la continuité du sommeil afin d’amoindrir le stress du maintien de la vigilance. Si les hypothèses de Freud et de Snyder diffèrent par la nature des causes du stress, elles ne sont pas antinomiques pour autant : chaque espèce pourrait avoir à se préserver du stress de la régulation de ses propres tensions.
Le rêve comme apprentissage
En 1966, Howard Roffwarg, Joseph Muzio et William Dement, après s’être interrogés sur l’existence d’un sommeil « sismique » prénatal et sur la prédominance du sommeil paradoxal après la naissance, ont proposé que le sommeil paradoxal jouait un rôle déterminant dans la maturation du système nerveux central à une période où le cerveau manque de stimulations externes. Mais cette thèse n’a jamais été confirmée et explique mal la persistance de sommeil paradoxal chez l’adulte. En 1969, l’informaticien Edmond Dewan s’inspira du fonctionnement des ordinateurs : au sommeil paradoxal correspondrait un programme de développement du cerveau embryonnaire, d’élaboration de nouveaux circuits fonctionnels après une lésion, et de consolidation des processus de mémorisation. Des expériences sur l’apprentissage des rats montrèrent dans les années 70 que la privation de sommeil paradoxal diminuait l’acquisition de tâches complexes. Bloch et ses collaborateurs suggérèrent alors le rôle essentiel de ce type de sommeil dans la mémorisation. Mais le lien entre apprentissage et sommeil paradoxal chez l’homme n’a pas été clairement établi. Le rêve est-il un moteur ou une conséquence du développement cognitif ? Rien ne tranche.
Le rêve comme création artistique
Nos rêves comportent parfois des scènes visuelles ou des mélodies foncièrement originales. La capacité créative du cerveau rêvant s’est vue glorifiée par quelques réalisations historiques – prétendument inspirées par des rêves, parmi lesquelles figurent la découverte de la structure de la molécule de benzène par Auguste Kekulé et la composition de la Sonate du diable de Giuseppe Tartini. Le rêve pourrait n’avoir pour fonction la production d’un spectacle fantastique se nourrissant de nos fantasmes et de nos angoisses. Telle est l’hypothèse de Hobson, pour qui notre cerveau est fondamentalement artiste, pour notre plaisir. Le rêve est peut-être une activité gratuite, rendue possible par l’absence de nombreuses contraintes (somatiques, cognitives, morales…) qui pèsent sur le sujet éveillé.
Le rêve comme adaptation psychosociale
Chez la plupart des indiens d’Amérique du Nord comme chez les aborigènes d’Australie, les expériences oniriques sont au moins aussi importantes que celles de la veille ; elles dictent souvent leur conduite. Dans une étude sur seize tribus indiennes, Stanley Krippner et April Thomsom montrent comment l’interprétation des rêves entretient l’identité culturelle. Chez certaines de ces tribus, comme les Ojibwas, les rêves sont intégrés à la réalité et aux croyances du clan. Cette recherche d’équilibre individuel et de responsabilité sociale témoigne ainsi d’une fonction d’adaptation psychosociale qui, par ses aspects mystiques, n’est pas sans rappeler certaines idées de Jung. Si le rêve des indiens peut nous sembler étrange, c’est sans doute que, depuis Descartes, en dévalorisant la moitié nocturne de notre vie, nous avons opéré une coupure radicale entre le psychique et le social.
Le rêve comme rappel à l’ordre
Les populations africaines de l’ancienne cité des Esclaves, l’âme humaine, avant de prendre corps dans le sein d’une femme, séjourne dans un « monde de l’origine « , situé symboliquement dans les entrailles de la Terre. Dans ce lieu où demeurent les germes des expériences possibles, elle s’attribue un lot de possibilités, un patrimoine à faire fructifier, et conçoit les grandes lignes de son existence future. A la naissance, elle perd contact avec ce monde où sont conservés les objets fondamentaux de son désir, et ne sera heureuse qu’à condition de leur rester fidèle. Le rêve sera souvent l’occasion pour des entités protectrices (ancêtres, génies célestes) de rappeler le sujet à l’ordre s’il déroge à son destin. Insignifiance, malheur et maladie suivent immanquablement une inadéquation entre son existence effective et celle antérieurement imaginée. Le rêve contribuerait donc à restaurer les bonnes relations de l’homme avec de telles déterminations originelles. Pour l’ethnologue Albert de Surgy, la comparaison de ces déterminations avec les inscriptions du génome peut suggérer une analogie avec la théorie de Jouvet.
Le rêve comme gardien des comportements spécifiques
Michel Jouvet a proposé, en 1991, la théorie de la programmation génétique itérative ; chez les homéothermes, le sommeil paradoxal réactiverait périodiquement les comportements spécifiques de l’individu (les comportements communs à l’espèce étant sans doute définitivement établis une fois achevée la neurogenèse). Cette hypothèse, étayée par l’observation de souris consanguines et de profils psychologiques de jumeaux homozygotes, suggère que le rêve maintienne l’individuation psychologique, perpétuant une diversité naturelle nécessaire. Mais rien n’assure que le sommeil paradoxal soit seul responsable d’une telle reprogrammation. De plus, où se situe la frontière entre comportements individuels et comportements communs ? Or c’est davantage au niveau idéologique que l’idée de Jouvet a été critiquée : en tant que théorie génétique, elle peut être matière à des discriminations abusives ; c’est pourquoi il rencontra des difficultés à réaliser des comparaisons interethniques sur les caractéristiques du sommeil paradoxal. Cette théorie représente cependant aujourd’hui l’une des seules approches évolutionnistes du problème de la fonction des rêves.
Source:Par Olivier Néron de Surgy
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96
Activities
Aujourd’hui
Déc
Flambeau
- Changement de caractère vraisemblable.
- Voir un flambeau : on apprendra un secret.
- Le porter : on est aimé.
- Le voir briller : on éclaircira une affaire obscure.
- L’éteindre : destruction d’une relation agréable.
- Le voir éteint : espoirs irréalisables et désirs insatisfaits.
- Voir danser des indiens avec des flambeaux : beaucoup de chance à l’étranger.
- Voir des flambeaux brûler en plein jour : on obtiendra quelque chose a quoi on avait déjà renoncé.
- Les voir tomber du ciel : mauvaises nouvelles.
Oiseaux
Les oiseaux dans les rêves peuvent s’interpréter de plusieurs manières, voici une liste de symboles et de significations qui pourront vous aider :
- Si ce n’est pas une chevêche (exhortation), en relation avec le sens érotique d’une façon primitive de s’exprimer.
- Que l’on voit ou que l’on entend : se reporter aux diverses sortes d’oiseaux
- les oiseaux qui chantent signifient des nouvelles, les oiseaux de passage un changement
- les rapaces des ennemis.
- Voir un sorbier : gain.
- Voir une cage vide : tromperie, déception ou pertes.
- Épouvantail : quelqu’un, si l’on regarde de plus près, n’est pas aussi insupportable qu’on le croit.
- En général bon présage, nouvelles et visites agréables.
- Capturer un oiseau vivant: relations amicales, union
- oiseau qui vous échappe et s’envole: rupture.
- Détruire un plusieurs oiseaux: altercations, discorde sauf s’il s’agit d’un oiseau malfaisant ce qui promettrait une victoire sur un ou plusieurs adversaires.
- Dénicher des oiseaux: s’ils sont vivants et se laissent aisément prendre: heureuse naissance.
- Le cri des oiseaux est de bon augure.
- Tout oiseau vu sur quelqu’un te représente et vous dévoile les intentions du dit personnage: oiseau blanc ou du moins de couleur claire: bonne intention, noir ou foncé: mauvaises intentions .
- Posséder des oiseaux ou en voir voleter au dessus de sa télé c’est satisfaction assurée en affaires, comme en amour
- voir une volée d’oiseaux venir rapidement vers vous: menace grave.
- Les voir voler : Espérances de bonheur.
- Oiseaux migrateurs : Changement dans votre existence.
- Les entendre chanter : Heureuses nouvelles prochaines.
- Qui couvent : Joies familiales.
- Voir une volée d’oiseaux : Signe de voyage.
- Oiseaux de nuit : Signe de malheur. Décès dans l’entourage.
- Tuer des oiseaux : Discorde. Séparation affective. Rupture.
Cercueil
- On prend congé intérieurement du passé
- de nouvelles intentions ne peuvent être réalisées que lorsque le passé est enterré.
- Vide que l’on voit : on se fait des soucis injustifiés à cause de son avenir.
- Avec un cadavre : présage de malheur en mariage ou avec un partenaire.
- Dans lequel on se voit étendu : événement heureux en mariage ou avec un partenaire.
- Voir un cercueil dans un marché, une foire: tous ceux que vous y aurez vu sont des hypocrites.
- En voir un au milieu d’un cortège funèbre, s’acheminant vers le cimetière dont on connaît la destination: on encaissera des créances.
- En voir un grand nombre dans un endroit: signe de corruption et de dépravation du lieu.
- Cercueil qui marche seul: voyage par eau.
- En voir un dans les aires et qui va tout seul: mort mystérieuse à l’étranger d’un grand personnage ou d’un grand homme de votre pays.
- Voir dans une bière une femme qui n’est pas morte: prochain mariage pour elle si elle est fille ou veuve.
- Être soulevé dans un cercueil est toujours signe d’honneurs ou d’élévation.
- Rêver qu’étant vivant et tout vêtu on se trouve dans un cercueil: fin prochaine.
- Rêver que l’on est dans un cercueil sans que l’on songe à vous enlever: emprisonnement.
- Cet exemple tiré d’un des classiques de l’oniromancie laisse voir sous la lettre la directive de l’interprétation.
Ventre
- Sens presque toujours sexuel.
- Le voir : des opinions modernes tendent à passer au premier plan.
- Être couché sur le ventre : la santé va connaître une déficience.
- Voir ou avoir un ventre grand et gros : augmentation de la fortune.
- Maigre : perte d’argent.
- Se rapporte aux biens du songeur
- il est donc excellent pour lui de se voir en rêve un grand et fort ventre.
- Se voir le ventre ouvert: divulgation des secrets du dormeur
- se tenir ou ramper sur le ventre: difficultés matérielles
- voir un ventre d’homme: il indique ce que l’on gagnera dans une affaire convoitée
- voir un ventre de femme: gaspillage.
Oeuf
Cas général :
- Plans conduisant au succès.
- Voir ou avoir un oeuf : bonne entente au foyer.
- Trouver un oeuf : annonce une liaison stable avec quelqu’un, chez les célibataires : fiançailles ou mariage.
- Voir ou tenir dans la main un oeuf très gros : événement très avantageux.
- Voir une poule pondre un oeuf : bonnes nouvelles.
- Manger un oeuf : les soucis relatifs à la nourriture sont éliminés.
- Un bel oeuf en chocolat : on fera la connaissance d’un Don Juan ou d’une dame très élégante.
- Voir des oeufs très coloriés : gros chagrin.
- Des oeufs rouges : mort ou colère d’un ami ou danger d’incendie.
- Jaunes : annonce une maladie.
- Laisser tomber un oeuf : désunion et commérage.
- Un oeuf pourri : on aura mauvaise réputation.
- Ouvrir un oeuf et y trouver un poussin : gros gain, surtout à la loterie.
- Voir éclore des poussins : événement heureux dans la famille, qui se traduit par une amélioration de la situation.
- Jeter sur quelqu’un des oeufs pourris : une injustice que l’on à commise va être vengée.
- Significations traditionnelles: oeuf donné: enfant pour qui le reçoit
- oeufs cuits : réussite
- manger des oeufs crus: on commettra quelque luxure.
- Rêver qu’on casse un oeuf: sacrifice d’une virginité.
- Trouver des oeufs: augmentation de votre progéniture.
- Vendre une quantité d’oeufs: bénéfices.
- Les oeufs boruillés que l’on prépare ou que l’on mange : on saura tirer le meilleur parti d’une certaine occasion.
De pâques :
- Que l’on cache : séparation passagère d’une personne aimée.
- Que l’on cherche : on est amoureux.
- Que l’on trouve : on est aimé.
- Dont on fait cadeau : on sera conquis par l’amour d’un autre.
- Que l’on reçoit en cadeau : s’attendre à une déclaration d’amour.
- Que l’on mange : un amour trop passionné aura des conséquences inattendues ou importunes.
Jeune Fille
- S’il ne s’agit pas simplement d’un rêve de désir sexuel, ce sont des souvenirs ou un changement dans la structure des désirs et des plans.
- Voir plusieurs jeunes filles : une joyeuse compagnie.
- Vêtues de blanc : un penchant qui rend heureux.
- Être entouré de jeunes filles qui rient : on est la cible de taquinerie ou de petites moqueries.
- Donner des baisers à des jeunes filles : on cède à un penchant qui rend ridicule et expose à la moquerie.
- Recevoir des baisers de jolies jeunes filles : désenchantement après une ivresse passagère.
- Les voir pleurer : on aura un enfant.
- Les voir faire des travaux ménagers : mariage.
- Ici il faut laisser la parole à la tradition: En voir une à peine développée: providence, bel avenir
- en voir une nue: honneur si sans cause ou mérite.
- Pour le reste, voyez Femme.
- Certains auteurs font une distinction entre la femme et la jeune (fille, et donnent des interprétations différentes pour l’une et pour l’autre .
- Donner le bras à une jeune fille: bon présage
- l’entraîner par force: perte des liberté
- rêver qu’une jeune fille vous donne quelque chose: fortune
- si elle vous prépare une couronne: honneurs, élévation
- en recevoir une fleur rouge: on aura de très bonnes nouvelles
- en recevoir une branche de basilic effeuillée: est un avertissement a être constant et avoir bon espoir dans ses amours.
- Recevoir un citron ou des raisins verts d’une jeune fille: vous souffrirez par elle
- une pomme: elle accepte votre amour
- une rose: bonnes nouvelles que vous lui porterez
- l’embrasser ou en être embrassé: bonne solution de vos affaires.
- Si vous rêvez qu’une jeune fille vous enveloppe, vous couvre d’un drap de lit: vous la demanderez en mariage et vous l’obtiendrez
- enlever de la boue, des taches des vêtements d’une jeune fille: on la sauvera d’un mauvais mariage
- rêver qu’elle vous prépare le lit: elle fera tout pour vous épouser
- rêver qu’une jeune fille vous donne à boire ou à manger: succès on amour
- tuer une jeune fille: grand danger dont on est la cause involontaire.
Éclair
- Clarté subite sur la situation et les événements : bon signe surtout chez les personnes aisées.
- Voir un éclair : perte d’argent, contrariété, querelle familiale, désagrément en affaire.
- Le voir s’abattre sur sa tête ou sur sa maison : perte des biens et de sa vie.
- Être touché par un éclair sans être blessé : un danger auquel on échappera.
- Être blessé par un éclair : coup imprévu du destin ou mauvaises nouvelles.
- Voir des éclairs de chaleur : bon présage.
- Voir des éclairs et entendre le tonnerre : on aura le plaisir de revoir un ami ou une amie.
- Voir un éclair qui s’abat avec un bruit de tonnerre : présage de perte. Éclair de chaleur
- Que l’on voit : présage d’événements grands et importants. Éclaircissement de malentendus
- On peut essayer d’améliorer son existence, mais il faudra lutter pour y arriver. Éclaireur
- Que l’on voit : exhortation à rester dans le droit chemin.
- Que l’on est : on cherchera le bonheur à l’abri des regards et on l’y trouvera
- c’est également une exhortation à protéger son bonheur contre les envieux. Éclipse de lune
- Que l’on voit : des pertes ou des difficultés particulièrement graves. Éclipse de soleil
- Annonce des événements de grande importance, qui peuvent causer de lourdes pertes. École
- La vie nous soumettra à de nouvelles épreuves.
- Annonce d’un élément imprévu et soudain qui va venir modifier vos plans ou votre existence.
- Présage à interpréter selon ce qu’on a rêvé immédiatement avant et après.,
- Annonce d’un élément imprévu et soudain qui va venir modifier vos plans ou votre existence.
- Présage à interpréter selon ce qu’on a rêvé immédiatement avant et après.,